À travers ces récits haletants se dessine Libertalia, une île utopique fondée sur la liberté, l’égalité et la rébellion.

Ce spectacle interroge la lutte des classes, la place des femmes et les marches du pouvoir, en mêlant humour, tension dramatique et engagement politique.

Derrière le mot « pirate » se cache une critique sociale toujours d’actualité.

Un appel à résister, à imaginer, à espérer.

Ce spectacle se veut totalement immersif.

Il est admis dès l’introduction que le public existe bel et bien à l’intérieur même du récit, puisqu’il vient assister non pas à un spectacle, mais bien à une pendaison de criminels. C’est au fur et à mesure des péripéties que la narration se construit, les enjeux dramatiques prenant de plus en plus de place sur l’échafaud, qui redevient ce qu’on attend de lui : une véritable scène de théâtre.

Malgré la représentation scénique d’une exécution publique, notre spectacle est comique, décomplexé et interactif. Cette histoire est rythmée à la fois par le jeu, l’escrime et les chants interprétés par les comédiens.